Saturday night fever

De la folie cette soirée!
Et non je ne suis pas allée me la coller comme tout jeune qui se respecte -je vous vois venir. J'ai fait qlqch de bcp plus bichant, de beaucoup plus fun, qlqch dont tout les clubbeurs rèvent en cachette...
Un Inventaire, Wouaahhh!
Et oui, besoin de sous - le capitalisme aura ma peau - donc nous voila partie pour une folle nuit riche en rebondissements.
Je pointe, et je me rend la table pour les badges...sauf que la fille qui s'en occupe est totalement débordée. La pauvre, c'est pas une flêche, et non contente de nous faire poireuter une heure, cette truie sors s'en griller une toute les 10 min.
Quand je lui demande pourquoi est-ce-qu'on attend là au lieu de commencer, elle me répond comme si je n'avait que la moitié d'un cerveau. Il a fallut que je resiste à l'envie de sauter par dessus la table et de la baffer.
1h après le début prévu de l'inventaire, on commence enfin.
Et me voila partie, armée de mes post-it.
Les gens qui ont concu les rayons dans ce magasin, ont manifestement été fini au pipi. Ils en ont mis dans tout les sens, tu peux même pas compter de gauche à droite tranquillement. Tu trimes à tout biper (avec un bipeur qui marche pas en plus - c'est un conplot - ), en respectant plus ou moins un sens logique.
J'ai "super" vérifié (oui ça s'apelle comme ça), un rayon ac un jeune homme. C'était blindé d'erreurs, à croire que le mec qui avait bipé ça avant venait de s'en fumé un 12 feuilles. Sur les conseils du jeune homme, on a fait comme si tout était bien fait.
Je sais, c'est mal!
Mais qui a dit que les inventaires étaient fiables?
Bref, j'ai quand même rencontré un garçon bien sympatique, dont je n'ai pas eu le courage de demandé le numéro ( oui, oui je sais!). Et un encore plus sypamtiquement attractif, mais à qui je n'ai même pas osé parler. Bon faut dire qu'il fesait un peu jeune.
C'est tout ce que j'ai trouvé comme excuse.